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Université de Montpellier

L’Université de Montpellier et l’Institut de Chimie Séparative : une chimie nouvelle durable, économe en atomes et en énergie, au service de l’homme et de son environnement :
L’Université de Montpellier (UM) réalise des recherches et des formations, dans plusieurs grands pôles de recherche et d’enseignement :

  • Biologie-Santé
  • Environnement, Vie, Agroalimentaire, Planète Chimie
  • Mathématiques, Informatique, Physique, Structures et Systèmes Sciences Humaines et Sociales.

2 professeurs et de 2 maitres de conférences de l’UM (dont 1 rattaché à l’IUT Montpellier) font leurs recherches au sein de l’institut.

formations

Les formations sont dispensées en formation initiale, en formation continue (CREUFOP) et par apprentissage (Centre de Formation par Apprentissage) au travers de 7 composantes :

  1. 1 Unité de Formation et de Recherche des Sciences (Faculté des Sciences de Montpellier)
  2. 1 Institut Universitaire de Formation des Maîtres (IUFM)
  3. 3 Instituts Universitaires de Technologie : IUT de Montpellier, IUT de Nîmes et IUT de Béziers
  4. 1 Ecole d'ingénieurs : Ecole Polytechnique Universitaire de Montpellier (POLYTECH'M)
  5. 1 Institut à double compétence scientifique et managériale : l'Institut d'Administration des Entreprises (IAE)

L’ensemble de ces formations accueille environ 15000 étudiants. Toutes ces formations sont appuyées sur une cinquantaine de laboratoires de recherche, dans lesquels travaillent 800 enseignants chercheurs ainsi que des chercheurs des grands organismes nationaux de recherche (CEA, CEMAGREF, CIRAD, CNRS, IFREMER, INRA, INRIA, INSERM, IRD). Ces laboratoires accueillent 970 doctorants, gérés par 5 Ecoles doctorales pilotées par l’UM.

L’Université de Montpellier est fortement impliquée dans le pôle régional de chimie, le pôle BALARD.

 

le partenariat entre l'université de montpellier et l'institut de chimie séparative de marcoule

Ce partenariat fait partie des défis scientifiques qui appartiennent à la fois à la recherche fondamentale et appliquée. Il permet d’apporter une source nouvelle de connaissances au niveau fondamental dans le domaine de la chimie séparative, qui concerne plus particulièrement la fabrication des molécules très sélectives dans leurs activités.

Les conséquences directes impacteront non seulement les domaines du nucléaire mais encore les secteurs satellisés les plus variés. Il permettra de finaliser l’ensemble des procédés et avancées technologiques qu’il sera nécessaire de mettre en place pour exploiter ces ressources nouvelles, comme par exemple les fluides super critiques. Actuellement, l’accent est mis sur des axes de recherche très actifs dans les matériaux et le génie des procédés. Ces secteurs sont des axes forts en termes de compétences et vont permettre de prendre et développer de nouvelles directions en termes de recherche fondamentale et appliquée.

S’agissant de l’axe formation, l’Université de Montpellier (UM) contribue et à la formation des ingénieurs, docteurs et techniciens, qui vont être nécessaires pour le renouvellement des installations nucléaires dans les 20 prochaines années.